«L’embuscade» était bien en place. Une dizaine de livreurs de repas en vélomoteur attendaient leur tour pour être contrôlés. Trois étaient détachés du groupe, l’air bien embêtés. Leurs papiers n’étaient certainement pas en règle. Pourtant, à longueur de journée, ils sont appelés à sillonner rues, ruelles et avenues, pour livrer des repas prêts à la consommation.
On peut dire que c’est la mode. On peut aussi supposer que par paresse, facilité ou ignorance, on s’empresse de commander chez le traiteur ce dont on a besoin pour se nourrir.
Et cette tendance gagne du terrain, envahissant un domaine qui va en continuelle progression. Les jeunes ménages, les étudiants, les travailleurs de tous les secteurs d’activité penchent vers cette solution..
Lire l’intégralité de l’article dans notre version papier du 21 décembre 2024